Caractère,À la création de ses enfants les Anges, Dieu fit une erreur. Il leur donna à tous une personnalité correspondant à leur attributions. L’une des ses plus grandes erreurs est sans aucun doute Sobroniel, l’Ange de la créativité. Il lui donna l’imagination et la spontanéité, l’envie et l’enthousiasme, la fougue et l’impatience, la passion et l’obsession,  et pour finir la capacité d’aimer. L’ange de la création est de loin l’être le plus créatif de l’univers. À l’écoute du monde il inventa la musique et découvrit le terme de l’inspiration en imaginant les premières notes.  Dieu créa les oiseaux et Sobroniel leur donna leur chant. Et à la naissance de l’homme, il les aima au premier regard. Il souffla dans l’air pour leur donner l’idée de trouver un endroit où s’installer et rendre cet endroit « chaleureux », il inventa ce terme et celui-ci s’insinua en lui, le rendant « chaleureux », mais il découvrit aussi la notion de « l’aide »  pour son geste ce qui faisait entièrement parti de lui. Il aidait les autres par sa créativité. Les hommes se multipliaient alors et Sobroniel ne pouvait aider chacun d’eux, alors il créa les Muses, une parfaite représentation de lui même pour souffler l’inspiration de la créativité à l’homme. Mais malgré tout ça, Sobroniel imaginait plus, il voulait pouvoir fouler la terre et créer avec elle, la ressentir, il créa la notion de liberté.

Son physique Si la plus part des anges se contente de prendre possession du corps d’un bon chrétien pour fouler la terre, ce n’est pas le cas de l’ange de la créativité. Sobroniel c’est imaginé une enveloppe lui correspondant. Il se savait être un homme, il s’imaginait grand sans trop l’être, choisissant de faire un mètre soixante-dix-sept. Il se donna des cheveux brun et des yeux vert. Un corps fin et aussi délicat que lui. Des dents blanches parfaitement alignés et un sourire en coin angélique. Une peau pâle pour représenter la pureté de son âme.
Lorsqu’il vivait au XXIe siècle il aimait porter des jean serré, des vestes en cuir, des bottines et un chapeau, sa guitare sur le dos. Mais au XIXe siècle, il n’était plus possible pour lui d’aborder ce détachement vestimentaire, le poussant à aborder la tenu de l’ouvrier traditionnel de la révolution industriel.