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 Emerys ♥︎

Valentina Del Duca
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MessageSujet: Emerys ♥︎    Emerys ♥︎  EmptyMer 12 Aoû - 0:40




Emrys Bischoff


feat. Jonathan Rhys Meyers

Date de Naissance : 30 Septembre 1955 ~ Lieu de Naissance : Europe
Âge : 33(physique)/60 ans  ~ Statut : Célibataire ~ Groupe désiré : Strigoï
Elément (pour les Moroï) :Feu / Eau / Air / Terre


Caractère
Aimant, juste avec elle
Ambigu, avec toutes les femmes
Ambitieux, depuis toujours
Amusant, que ce soit noir ou blanc
Angélique, mon sourire
Arrogant, toujours
Artiste, avec ton corps
Attentif, à tes mouvements
Audacieux, je vole de toi(t) en toi(t)
Autoritaire, c’est moi qui commande, faut t'y faire

Beau parleur, tu tomberas dans le panneau

Charismatique, ah ça..
Cinglé, certainement
Concentré, toujours si c’est pour te tuer
Confient, à quoi bon avoir peur ?
Courageux, faut bien, sinon tu meurt
Courtois, avec les ladies
Créatif, avec le sang des ladies
Cultivé, ça viens avec l’âge
Cynique, à quoi bon être comme tous le monde ?

Débauché, c’est plus drôle
Désordonné, ranger, à quoi ça sert ?
Directe, pas de non dit avec moi, mon gars
Diabolique, mon rire
Distingué, mes gestes
Douteux, tout ce que je fais
Dur, devine !

Égoïste, et alors ?
Énigmatique, oh oui
Excentrique, ça met de la couleur
Excessif, faut jamais rien faire à moitié
Explorateur, de ton corps
Expressif, tu le découvriras
Exubérant, bah quoi ?

Fantasque, j’aime bien
Faux, la vérité ne sert à rien
Ferme, t’as toujours pas deviné ?
Fêtard, chaque jour. Je dormirais quand je serait mort…définitivement
Fier, comme pas deux
Flatteur, avec toi ma belle
Fouinard, c’est un vilain défaut, je sais.
Fou, on le dit
Fougueux, demande leur
Fourbe, y a des chances

Galant, toujours avec ses ladys
Gourmand, de la gente féminine

Hautain, avec ses pauvres inférieurs
Hypocrite, je sais je sais…
Hystérique, ça m’arrive

Imaginatif, tu le sauras bien assez tôt
Impudent, c’est plus vivant
Indépendant, parfois être seul vaut mieux qu’être mal accompagné
Inébranlable, essaye de m’atteindre pour voir ?
Insolent, tu craqueras avant moi
Intelligent, c’est un don de la nature
Intrépide, toujours.
Ironique, ça me fais rire

Jaloux, ne la touche pas
Joueur, avec ses dames

Leader, avec les idiots
Logique, dans ma façon de penser
Loyal, envers elles
Lunatique, ne me cherches pas

Malicieux, mon sourire ?
Mauvais, un mot pour me définir
Mystérieux, tant de secrets

Narcissique, je suis beau, et alors ?
Négatif, juste pour toi.

Opportuniste, à n’importe qu’elle occasion
Original, j’aime assez.

Passionné, avec vos lèvres.
Passionnel, avec ton corps
Patient, juste dans ma traque.
Pervers, ahhaha
Possessif, juste avec elle
Protecteur, pour elles
Puérile, on le dit.


Rebelle, je l’ai toujours été
Rigide, alors t’as deviné ?

Sadique, avec ses pauvres victimes.
Sans pitié, avec vos corps.
Snob, avec les humains.
Sociable, avec les miens.
Spontané, pour tout
Surprenant, faut bien de temps en temps, non ?

Taquin, elles préfèrent
Tricheur, au poker ? Non, pas du tout…

Vif, comme un serpent.
Viril, tu le sauras si tu goute.
Vivant,  à moitié
Violent, c’est grisant.
Son physiqueUn mètre soixante-dix huit de pur beauté. Des yeux bleus qui font fondre le coeur de ses dames. Un corps d’athlète et une endurance d’étalon. Des muscles de combattant, des cicatrices du passé. Des jean simple et des chemises blanches, de simple chaussures. Le naturel me va bien mieux.




Son Histoire



I break, I borrow, I live, I loose
I break, I'm hollowed, I'm dead, confused
I'll find you

What is love and what's it for
I'm stuck outside an open door
And no one's come to get me yet
I never got a second bet
I'm welcomed to your fantasy
If only she was make-believe
Oh what is love and what's it for?
Oh take me back and do me more
Ooh take me back and do me more

I break, I borrow, I live, I loose
I break, I'm hollowed, I'm dead, Confused
I'll find you

Once you're here you're never gone
Oh, once you're here you're never gone
I fall from in out the cold
A piece of me that I can't hold
I love you as I loose you more
I break outside this open door
Catch me as I wash away
Oh, catch me as I wash away
Ooh, catch me as I wash away

I break, I borrow, I live, I loose,
I break, I'm hollowed, I'm dead, confused

I break, I'm hollowed, I'm dead, confused
I'll find you


Les applaudissement fusent dans la salle. Je décoche un sourire merveilleux à la blonde au bas de la scène. Elle pense avoir gagné le gros lot ce soir, elle n’a même pas idée à quel point. Je pose ma guitare, je la range dans son étui avec soin, déjà un humain se presse pour la récupérer et la mettre dans sa voiture. Je saute de la scène, je rejoins la blonde, je l’attrape par les hanches et mes lèvres s’écrasent sur les siennes. Je ne connais pas son nom, elle ne connais pas le mieux, elle m’a juste vu chanter, et que je l’embrasse n’a pas l’air de la déranger. Je souris contre ses lèvres, quand elle s’empresse de caresser mon torse. Elle me prend par la main, m’entrainant déjà hors de se bar où je me suis produit. Bien ma belle, entraine moi dans une ruelle sombre, abuse de moi si tu le veux, mais se ne sera pas moi le plus abusé de nous deux crois moi.

Elle me plaque au mur, personne ne peut nous voir, le noir est total, personne ne pourra nous voir ici. Parfait ai-je envie de dire. Mes doigts glissent sous sa robe, elle la perd rapidement, mes lèvres se perdent contre l’odeur de sa peau, son cou, si rosé. Je ne resterais pas encore bien longtemps, je le sais, surtout pas en ressentant son désir pour moi. Mes crocs attisent sa flamme dans son cou, elle gémit, elle aime ce que je lui fais, mais elle n’a encore rien fit. Brusquement je plonge mes crocs dans sa chaire, je les retire, elle cri, je plaque une main sur sa bouche, je la mord à nouveau, je le fais une fois, deux fois. Elle aimerai hurler, s’enfuir, mais je l’en empêche. Je pourrais la mordre une bonne fois pour toute et les endorphines feraient leurs effets, elle ne se débattrait plus, mais où serait le plaisir ? Je m’amuse à la torturer de la sorte pendant de longues minutes, et je ne prends jamais assez de sang pour qu’elle vienne à en mourir, se serait trop doux pour elle.

Je caresse sa main droite du bout des doigts, je la remonte à mon visage, j’hume son odeur et un son rauque, sauvage échappe ma gorge. Délicieuse, un vrai plat de roi. J’embrasse chacun de ses doigts, une lueur de folie dans les yeux, je sais ce que je vais faire, je sais ce que j’ai envie de faire.

- J’adore tes ongles ma douce. Si parfaitement limé..

Je prend un de ses doigts dans ma bouche, je le suce délicatement, je laisse mes dents se refermer sur son ongle et je tire. Elle cri, contre ma main gauche toujours plaqué sur ses lèvres. Elle souffre tellement que je me mets à rire diaboliquement, ma pauvre enfant, ton ongle est cassé ? Je le glisse dans ma poche sans plus se cérémonie. Je regarde le sang qui coule sur son doigt, que je remets dans ma bouche, je le lèche délicatement, puis, je relâche cette main, je prend l’autre, son index entre les doigts, je la force à caresser le sang qui coule dans son cou. Son doigt maculé, je souris un peu plus, je retire ma main gauche de sur ses lèvres, plongeant mon regard dans le sien :

- Surtout tu ne cris pas, tu bouge pas. On est d’accord.
- D’accord, dit-elle d’une voix confuse.

Je lui fourre alors son doigt dans sa bouche, je lui ordonne de lécher tout ce qu’il y sur son doigt. Elle pousse une grimace de dégout et je ris un peu plus. Goute ma belle, se nectar qui coule maintenant dans mes veines. Ce n’est pas à ton goût ? C’est bien dommage pour toi, tu ne sais pas ce que tu loupes. Mes lèvres retrouvent son cou pour une nouvelle gorgée, un peu plus longues que les autres, mais pas encore assez. Je replonge mes yeux dans les siens, je lui montre le côté opposé de celui où nous sommes entrée de la ruelle et je lui murmure :

- Cours…

Je la relâche et elle s’enfui. N’aimait-elle donc pas ma compagnie ? Je ris toujours plus avant de me ruer vers elle. Elle cri cette fois, je la laisse faire, mais personne ne peut nous entendre, et si tel était le cas, nous aurions disparu avant que quelqu’un arrive. Je la percute de plein fouet, elle tombe à terre, se débat et j’attrape ses bras d’une poigne de fer :

- Voyons ma jolie, on commence tout juste à s’amuser.

Je lui mord le poignet cette fois, une gorgée, puis je mord sa cuisse, je remonte sur son ventre, je laisse le sang couler de tout les côtés. Je la regarde se vider doucement avec un grand sourire animal, une véritable merveille. Doucement, je voie la vie qui s’éteint dans ses yeux, et je décide d’abréger ses souffrances, je plonge mes crocs dans son cou, mais je change d’avis juste avant la limite, et je la laisse mourir dans un hoquet de souffrance. Le sang qui macule sa peau, (j’avais donc fais tombé sa robe ?) je m’amuse à dessiné ce mot sur son ventre :

Délicieuse


Je me relève doucement, la laissant là, avant de me retourner pour rejoindre le van ou sont affrété mes affaires de Rock star. Ama rirait bien si elle me voyait, et j’adorais ça. L’humain qui me sert « d’assistant » est là, il regarde mes vêtement maculés de sang, et celui qui perles sur mes lèvres. J’hausse les épaules d’un air faussement innocent. J’ouvre les portes arrières, retirant mes vêtements pour en changer. Je récupère l’ongle dans ma poche pour le glisser dans une bourses ranger dans un compartiment puis je referme le tout dans un claquement :

- On y va !

Je monte au volant, lui côté passage. Nous roulons quelques minutes et enfin il se décide à poser la question qui le chiffonne depuis tant de temps :

- Comment en es-tu arrivé là ?

Je le regarde fixement avec un sourire :

- Tu as conscience que si je te dis tout je vais devoir te tuer ?

Il hoche la tête, le pauvre fou pense encore que je vais lui offrir l’immortalité. Et bien soit, ce soir sera son dernier soir, je peux bien lui accordé la narration de mon histoire pour service rendu avant de passer de vie à trépas. Alors, avec un sourire, je me lance dans mon histoire.

- Ah mon avis, tu veux pas la version courte, alors, allons-y, commençons par le début.  

Minseln, Allemagne, 30 septembre 1955, Josefine Bischoff mets au monde un fils, dhampir comme elle, Emrys. Fruit d’une nuit passionnel avec moroï dont on aura déjà oublié le nom. Elle l’élève simplement, dans un amour grand délicat. Quand Emmys à 5 ans, sa mère choisit de vivre en France, à la frontière, permettant ainsi à son fils de rejoindre l’académie française de dhampir et moroï. C’est là qu’Emrys à fait la rencontre de celle qui bouleversa sa vie à jamais. Amaëlle Cheverston. Ce perdre dans ce qu’ils ont vécu ensemble dans leur années d’études, reviendrait à raconter des choses banals sur tout les adolescents. Le plus intéressant est d’attendre qu’ils soit diplômé et affecté.

Meilleurs de leur promo, en tête l’un et l’autre, à un rang d’égalité, Amaëlle et Emmys se voient affecté une place de choix, ensemble comme ils le désiraient, aux cotés d’un moroï royal Ethaniel Ivashkov. Emrys est le gardien rapproché, Amaëlle celle de distance. Ça leur convient bien. Emrys n’a pas à se plaindre de leur moroï, il le trouve plutôt sympathique, jusqu’au jour ou celui ci révèle son vrai visage. Violant la femme qu’aimait Emrys, la délicate Amaëlle. La mettant enceinte, et celle-ci perd le bébé. De quoi mettre le gardien dans une colère noire, mais on le retient, on l’empêche de le tuer, on l’envoie même chercher quelque chose au profit de son « maitre » en solitaire. Il laisse Am’ à contre coeur mais y va tout de même. C’est là que tout change.

_______________________________________

Je marche dans la nuit noire, mes armes rangées sous mon manteau. J’avance doucement vers le tarmac, j’attends, que cet homme avec la manette descende, je prend ce colis, je rentre et je propose à Ama de s’enfuir avec moi. Elle en a déjà trop vécu, je ne la laisserai plus une minute de plus avec cet homme, et même qu’avant de partir, je lui trancherai la gorge pour ce qu’il a fait.

Ce type me donne la mallette, je lui donne le sac avec les billets, enfin, les fausses coupures, les vraies ont déjà atterri sur mon compte. Il compte, mais ne se rend compte de rien, il hoche la tête, j’hoche la tête, et nous nous séparons. Je remonte au volant de la voiture, à ses aérodrome de riche, je crois que je ne mis ferai jamais.

Je fil déjà sur les routes, pressé de rejoindre Am’ et d’en finir avec cette vie à la con, je veux une nouvelle vie pour nous et je compte bien lui avouer mes sentiments. C’était sans compter sur la femme qui se dresse au milieu de la route et pour laquelle je dois fair un freinage d’urgence. Je sort de la voiture en trombe :

- Non mais ça va pas ?

Elle fonce sur moi, je comprends trop tard à qui j’ai affaire. Espèce de débutant Emrys, te laisser surprendre de la sorte, idiot va. Elle me regarde dans les yeux, elle est belle, c’est vrai, mais je voie aussi à sa peau qu’elle n’est pa sure vienne strigoï, j’aurai d’autant plus de facilité à me débarrasser d’elle. La strigoï laisse courir sa main sur mon visage, un frisson me parcourt, mais pas un frison de peur, elle le sent bien. Ses lèvres s’écrasent sur les miennes et c’est plus fort que moi, je lui rends son baiser. Mes bras passent autour d’elle, elle nous fait quitter la route pour rejoindre la forêt. Je me laisse faire avec plaisir. Elle murmure quelque chose à mon oreille mais je ne m’en rend pas compte.

Plusieurs heures plus tard, elle décide enfin de me tuer. Je la regarde fixement, prenant son visage d’une main ferme et je lui murmure ses mots qui scellerons à jamais mon destin :

- Transforme moi.

Elle semble hésité et accède à ma requête. Le feu s’empare de mon corps, je sens tout les changement s’opérer en moi. La force, les sens, tout change, tout s’améliore. Je pousse un cri de douleur et déjà, je sens que tout s’arrête, mon coeur ralentit, il s’arête, je ne vis plus… et mon coeur repart, plus lent, plus régulier, la vie, je la sens, différente mais bien présente. J’ai faim aussi, je sais de quoi. La strigoï me regarde, je ne connais toujours pas son nom, je la regarde doucement, elle me souris et je lui demande, elle me réponds alors :

- Leila.

Je souris en coin, caressant son visage, j’embrasse doucement ses lèvres, je me redresse au dessus d’elle et murmure à son oreille :

- Merci pour tout Leila.

Elle sourit, elle caresse mon torse, elle ne voie pas le mouvement de ma main vers mon manteau, elle n’a pas le temps de réagir que déjà mon pieu s’enfonce dans son coeur, un sourire cruel sur les lèvres je murmure :

- Adieu Leila.

Je me relève alors qu’elle meurt, je lui mets le feu à l’aide mon briquet. Je sort une cigarette du paquet, j’en craque une, mais elle n’a finalement plus aucune saveur pour moi, je la laisse retomber sur le corps de Leila. Je sais que j’ai changer, je sais que je ne suis plus le même homme, mais je sais aussi ce que je veux plus que tout, retrouver Am’ et lui offrir la vie qui m’est offerte.

_______________________________________


Aujourd'hui, expliquez ce qui fait sa vie aujourd'hui, quels sont ses combats, ses objectifs, ses habitudes. Ce qui le résume aujourd'hui.  Nec vox accusatoris ulla licet subditicii in his malorum quaerebatur acervis ut saltem specie tenus crimina praescriptis legum committerentur, quod aliquotiens fecere principes saevi: sed quicquid Caesaris implacabilitati sedisset, id velut fas iusque perpensum confestim urgebatur impleri.



Qui se cache derrière ?
Prénom/Pseudo : Noémie
Age : 18 ans
Comment es-tu arrivé ici ? C'est encore moi, je remplace Holly
Un avis sur le forum ? Ahahah...Razz
Tes petits hobbies ? Vous ♥️
Avatar : Jonathan "sexy" rhys meyers ♥️





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MessageSujet: Re: Emerys ♥︎    Emerys ♥︎  EmptyJeu 13 Aoû - 1:48


365

Les retrouvailles sont des phénomènes si complexes qu'on ne devrait les effectuer qu'après un long apprentissage ou bien tout simplement les interdire.


Missoula. Nouveau port d’attache d’Amaëlle, raison de ma présence ici. Je ne l’ai pas encore revu, mais je sais que cela ne va pas tarder. Ce soir mon objectif est de la retrouver et de fêter nos retrouvailles. Je dormirais pas dans le lit d’une autre femme, non, non, non, seul ses draps m’accueillerons. Mais avant de la rejoindre, l’idée de me sustenter commence à ce faire forte. La faim se réveille en moi comme une douce mélodie à mes oreilles. Qui sera ma proie ce soir ? Qui sera cette dernière femme à rejoindre le lot d’ongle cadeau que je vais offrir à Am’ pour me faire pardonner mon absence.

Je parcourt les rues à la recherche de cette personnage qui assouvira ma soif de sang. Je tourne à l’angle d’une rue, puis à celui d’une autre et je l’aperçois enfin. Une grande blonde, perché sur de haut talons. Une mini jupe qui ne laisse aucune place à l’imagination, un décolleté tout aussi subjectif et un teint merveilleusement appétissant. Je me passe la langue sur les lèvres à l’idée de la goûter. Quel goût a sa peau ? Je suis curieux de le savoir.

Je m’approche discrètement d’elle et je fais mine de lui rentrer dedans pas inadvertance. Je m’excuse avec toute la galanterie dont je suis capable. Elle ne m’en veux pas, elle trouve même que c’est une agréable rencontre. Pauvre sotte, tu viens de signer ton arrêt de mort, et déjà, elle m’invite à boire un verre. Je lui dis connaitre un bar, elle ne rechigne pas et me suis. Mais déjà je la plaque contre le mur d’une ruelle, je passe mes mains sur hanches. Ce n’est pas pour lui déplaire. J’embrasse son cou avec une certaine passion, elle gémit déjà sous moi. Je plante mes crocs dans la chaire de son cou, puis dans ses bras. Comme toujours, mon habitude. Elle crie et je l’en empêche d’une main. Je ne sais pas encore comment je vais m’amuser avec elle. Je la regarde en caressant sa joue :

- Que vais-je faire de toi ?

J’hume son odeur, pour commencer, je vais lui arraché un ongle, ce que je fais sur le champ à coup de dent. Doux cri de douleur qui raisonne à mes oreilles. Je souris un peu plus, je crois que je viens de trouver ce qu’elle va endurer.

- Que dirais-tu d’apprendre à compter ?

Elle me regarde comme si j’étais fou, c’est sans doute le cas. Mais je ne me laisse pas atteindre, je caresse un peu plus sa joue, mais mon ongle s’enfonce dans sa peau et laisse le sang coulé le long de son visage, j’en lèche une partie et murmure tout près de ses lèvres :

- Tu vas compter jusqu’à cent, et à cent tu mourras dans un cri. Ça te vas ? Bien sûr, je ne dis pas qu’entre zéro et cent ça ne va pas être douloureux.

Je ris doucement et elle commence à pleurer, la pauvre puce. Je lui ordonne de compter en plongeant mon regard dans le sien, puis doucement je commence mon entreprise. Pour commencer je lui arrache ses vêtements en lacérant sa peau de mes ongles. Ensuite, mes dents s’occupe de son sous-tien gorge. Je lui laisse cependant son dernier petit bout de tissu pour protéger sa vertu. Je plonge mes crocs dans un de sein, puis dans l’autre, elle compte toujours en hurlant.. 10,11,12…17,18,29

Elle n’est déjà plus contre le mur, mais sur le sol, endurant mille torture. Elle pleure toujours, elle gémit de douleur. Son bras andouille même au niveau de l’épaule. Elle se serai déjà évanouie si je n’avais pas interférer. Mes doigts parcourt son corps à la recherche du meilleur endroit à mordre. 40, 41, 42… Je lui mord un doigt, il n’y a pas grand chose à boire, mais celui-ci tombe sur le sol et elle pleure un peu plus. 55, 56, 57.

- Alors ma jolie, comment t’appelles tu ?
- Cassandra,… 60, 61, 62
- C’est bien compte ma belle Cassandra.

Je plante mes crocs dans ses lèvres, elle compte de façon étouffé maintenant, mais à cause de la contrainte elle ne peux faire autrement que de continuer. Le temps passe, bientôt, son coeur ralentira, nous arriverons à 100 et notre petit jeux sera fini. 75, 76, 77… que vais-je faire maintenant ? Et si elle perdait un bout de langue ? Pourquoi pas ? J’y plante mes crocs suffisamment fort pour l’arracher. 85,86,87, ça voix est plus que haché maintenant. La fin est proche, je sang les dernières gouttes de sang qui papillonne dans son corps, son coeur bat la chamade et ralentit. 95, 96… Ça y est ma belle. Cette fois-ci, c’est avec toute la force que j’ai que je plonge ma main dans sa poitrine, serrant son coeur dans ma main, plantant mes crocs dans son cou pour aspirer les dernières goutte. 99. Je tire, elle hurle.100. Elle est morte.

Je suçote son coeur quelques instant avant de le laisser retomber sur le sol, je me relève, essuie mes lèvres, je me regarde, constant que j’ai peu de tâche de sang. Je suis assez fière, je m’améliore à ce petit jeu. Je regarde son corps et je me demande alors qu’elle nom tracer dans le sang qui macule sa peau, ah oui, je sais.


Coeur révélateur

Je disparais déjà. Maintenant, je cherche la dame de mes pensées. Où es-tu Amaëlle ? Laisse moi venir à toi. Je décide d’écumer les boites pour voir. J’en fais trois quatre sans succès, je tente un bar et un sourire se dessine sur mes lèvres. Elle ne m’a pas encore repérer, tant mieux. Je repère rapidement qu’il y a une scène, une guitare, j’approche disertement de propriétaire, demandant si je peux jouer un morceau, il accepte facilement et je m’installe dans l’ombre :

- Mes dames et monsieur, un homme fort talentueux aimerai vous interpréter un morceau. Merci de votre écoute.

Il disparait. Je suis encore plonger dans le noir et je laisse mes doigts courir sur les cordes en entament mon morceau, Personal Jessus, Depeche Mode. Alors que quelqu’un va déposer discrètement ma bourse d’ongle sur la comptoir devant ma belle et que mon visage entre dans la lumière et que ma voix retentit :

- Your own personal Jesus
Someone to hear your prayers
Someone who cares
Your own personal Jesus
Someone to hear your prayers
Someone who's there

Feeling unknown
And you're all alone
Flesh and bone
By the telephone
Lift up the receiver
I'll make you a believer

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MessageSujet: Re: Emerys ♥︎    Emerys ♥︎  EmptyJeu 13 Aoû - 16:05


Cette rencontre

Il suffit parfois d'un regard, d'un hasard pour rencontrer quelqu'un qui nous marquera à jamais. Alors, gardez les yeux ouverts !

La nuit venait de tomber sur Missoula, debout devant ce qui me servait de dressing, nu comme un ver, j’étais à la recherche de la tenu idéal pour sortir. Ce soir, j’avais envie de compagnie féminine, et pas uniquement pour me nourrir, mais aussi pour assouvir une toute autre faim. Je choisi un simple jean noir et un tee-shirt blanc. Mes converses enfiler, j’attrapais l’étui de ma guitare et me voilà fin prêt à quitter mon nouveau chez moi. Un vielle entrepôt dans les quartiers sud de Missoula. Je m’y sentais parfaitement à mon aise.

Je sautais au volant de ma Cadillac noire, déposant avec un certain soin ma guitare sur la banquette arrière. Un sourire aux lèvres, je quittais les lieu, parcourant les rues à la recherche d’un bar sympas où je pourrais séduire sans trop de difficulté.

Elles défilaient ses minutes dans la nuit, à voir filer les bâtiments plus différents les uns que les autres sous mes yeux. Je connaissais cette ville pour être venu une à deux fois avec Amaëlle depuis notre transformation, mais encore jamais je n’avais pris autant de plaisir à conduire sur ses routes. Peut-être l’air frai du début d’été ? Au feu rouge, je me laissais prendre au jeu de regarder les mini jupe qui passait sur les trottoir, trop sans doute vu que la voiture de derrière klaxonna pour me sortir de mes rêveries perverses.

Finalement, je laissais ma Cadillac sur un parking du centre ville pour rejoindre cette fameuse rue piétonne dont tous le monde parle ici. On dit qu’on y trouve les meilleurs bars et restaurants. C’est ce que nous allons voir. Je marche sur ses pavés, un sourire aux lèvres, amusé par ses femmes qui se retournent sur mon passage, je n’aurais en effet aucun mal à trouver de la compagnie ce soir.

Je jette finalement mon dévolue sur un piano-bar, typiquement français. Je bois quelques verres au bar, avant de demander si la scène est libre, on m’invite à prendre place. Je réfléchis un instant à quel répertoire pourrait mettre utile à plaire ce soir. Je décoche un sourire à une brune non loin de la scène, je me penche et lui demande son prénom. Lily. Et bien ce serait Phil Collins alors, en honneur à sa fille, Lily.

Je prend place sur le tabouret au milieu de la scène, je sort ma guitare de son étui, je passe la lanière, et la dépose tranquillement sur moi. Doucement, je gratte les cordes et me lance dans une interprétation de Girl.

- I love you, girl, with all my heart and soul
I can't understand why you treat me cold
Your every wish, girl, is my command
And that's why I can't seem to understand why

Girl, girl, girl
Why you wanna make me blue?
I'm askin' you girl, girl, girl
Why you wanna make me blue?
…..


Puis je passe à Another day in paradise, This must be love et j’en viens à In The Air Tonight lorsque cette fille entre dans le bar. Je la repère au premier coup d’oeil. Sa chevelure de feu, son teint pâle, se yeux cerclé de rouge, je sais tout de suite que j’ai affaire à l’une de mes semblable. De plus, elle est magnifique, vraiment sensationnel dans sa robe courte révélant ses longues jambes et ses cuisses. Je passe la langue sur mes lèvres, j’y passerais bien les mains sur son corps tout entier. Je lui décoche un clin d’oeil séducteur quand elle croise mon regard et mes mains se perdent sur les cordes de ma guitare à défaut de sa peau.

- I can feel it coming in the air tonight, oh lord
And I've been waiting for this moment, for all my life, ohlord
Can you feel it coming in the air tonight, oh lord, oh lord

Well, if you told me you were drowning
I would not lend a hand
I've seen your face before my friend
But I don't know if you know who I am
….


Alors que je chante, mes yeux se perdent dans ses courbes délicate, je capte son regard, je la laisse s’y accrocher, je laisse ma chanson couler et l’envouter. Elle est toute à moi ce soir, je l’aurais, cela ne fait aucun doute. Cette magnifique créature est pour moi, je ne veux qu’elle. Il y avait longtemps qu’un tel sentiment de désir ne m’avait pas saisit, mais je ne m’en plein pas. Je sais comment tout ça va finir et ça me conviens bien.

- Well I've been waiting for this moment for all my life, oh lord, oh lord

Les dernières paroles de ma chanson franchise mes lèvres et je décide de mettre fin à ma prestation. Je range ma guitare, la mets sur mon épaule et saute de la scène, mon regard toujours focalisé sur elle. Je ne daigne même pas adresser un regard à Lily qui revient vers moi, préférant fendre la foule pour la rejoindre elle. Arriver à sa hauteur je lui offre un magnifique sourire :

- Je peux vous offrir un verre ?

Je sais qu’elle ne dira pas non, je le voie dans son regard. Je lui prend la main, je la lève jusqu’à mon visage et j’hume son odeur, caramélisé à souhait. J’adore ça. Je la tire doucement par la main jusqu’à une table pour qu’elle puisse s’installer et au lieu de me mettre en face, je prend place à ses côté sur la banquette.



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MessageSujet: Re: Emerys ♥︎    Emerys ♥︎  EmptyJeu 13 Aoû - 20:11


De nouveau en chasse

Ne te réjouis pas de la chute de ton ennemi, Et que ton coeur ne soit pas dans l'allégresse quand il chancelle.


Mes yeux s’ouvrent sur le plafond miteux, mais qui me conviens amplement, la nuit est en train de tomber sur la terre de Missoula. Je le sens, tout mon être est connecté à la nuit. Je me redresse sur mon lit et le drap glisse. Je sais que dans quelques instants le noir deviendra le lot macabre de la ville et qu’alors ses démons sortiront. Je sortirais. Je me lève sans aucune précipitation, je rejoins la grande fenêtre et en tire le rideau d’une main.

Je ne m’étais pas trompé, la lune est bien là et les derniers rayons du soleil filtre à peine alors que celui ci disparait complètement maintenant. Je me détourne, ouvrant le grand placard pour en sortir un jean et un tee-shirt. Je passe mes éternels basket ensuite. J’ai faim et je ne tarderai pas à contenter ma soif. Je descends les marches qui mènent au rez-de-chaussée. Je regarde ma Cadillac, mais finalement je pousse la lourde porte de l’entrepôt et sort seul dans la nuit.

L’air est frai, mais agréable, l’été est bien là cet fois, il à rejoins ses cotes. Marcher sous l’éclat de la lune me fera le plus grand bien. Je chantonne même à voix basse les paroles de cette chanson qui trotte dans ma tête depuis quelques jours, Electric Crown. Les Testament on toujours été un bon groupe mes yeux. Et ce soir ils m’inspirent quelque chose de nouveau. J’ai envie d’un peu de nouveauté, et c’est au même moment qu’elles apparaissent sous mes yeux. Des jumelles. Une vraie merveille ses blondes, des vraies jumelles en plus, de quoi me ravir.

Je m’approche d’elles, leurs robes laissent clairement voir qu’elles n’ont pas froid aux yeux. Je passe à côté d’elle et en marchant je me retourne, marchant en marche arrière. Un grand sourire séducteur se trace sur mes lèvres :

[color=#4C767A]- Eh bien mes jolies, ce n’est pas très prudent de se promener à une heure aussi tardive dans de tels lieux. Il y a beaucoup de fou furieux par ici.
[color=#6600FF][i]Vous comptez vous comme l’un d'eux ?
[color=#4C767A][i]- Laisse moi réfléchir… ça dépend de ce que vous voulez vous.

Je leur adresse un clin d’oeil amusé, j’avais donc raison, elles n’ont pas froid aux yeux. Celle de droite s’approche de moi, je stop mes pas alors qu’elle dépose sa main sur mon torse, sa jumelle s’approche et se mets derrière moi. Un grand sourire étire mes lèvres. Les pauvres enfants. Celle devant moi murmure ses quelques mots à mon oreille « On veux tout. J’éclate de rire et je les laisses m’entrainer dans cette ruelles sur le côté, non loin du parc. Elles rient toutes les deux, nous verrons bien qui rira le dernier.

Elles s’empressent de me retirer mon tee-shirt, ce n’est pas plus belle, moins il sera tâcher à plus je pourrais me baladé longuement ce soir. La première s’approche, me donnant un baiser langoureux. Je lui réponds avec plaisir, laissant mes bras se refermer sur son corps, la deuxième semble jalouse de la passion qui s’insinue entre nos deux corps. Elle pousse un grognement, se plaçant derrière moi pour embrasser mon cou. Elles vont me plaire ses deux là, mais ce soir, je n’ai pas envie de sexe, bien que l’attrait des jumelles est intéressant. La première romps le baiser, hors d’haleine, je plonge la tête dans son cou, j’y dépose quelques baisers avant d’y plonger mes crocs le temps d’une seconde. Elle cri, je la relâche et elle recule. Sa soeur se moque :

[i]- Il mord trop fort ?


Elle passe devant, plus aguicheuse encore, passant une main dans mes cheveux, je l’attire un peu plus contre moi :

- Elle n’en vaut pas la peine, contente toi de moi.

Je ris, je m’esclaffe même. La pauvre, elle ne sera jamais suffisante, et sa soeur non plus, même les deux ensembles ne valent rien. Je caresse sa joue du bout des ongles, ses yeux brillent de désir, les miens aussi, mais elle ne l’interprète pas de la même façon. Elle se colle un peu plus à moi et je dis suffisamment fort pour que sa soeur l’entende :

- Je vais commencer par toi, et je finirai avec elle. Vous ne pourriez que vous souvenir de cette nuit si vous aviez la possibilité d’en réchapper.

Elle fait un pas en arrière, pas sur de comprendre le sens de mes paroles. Puis elle regarde sa soeur qui se tien le cou et où le sang dégouline. Je passe ma langue sur mes lèvres à cette vu. Ma faim est de plus en plus forte. Elles se serrent l’une à l’autre, maintenant redevenu très proche. Mais à quel point ? Nous le verrons bien.

- Je sais ce que je vais faire de vous.

Elles mes regardent comme le pauvre fou que je suis. J’agite les mains alors que les idées se bousculent dans ma tête. Mon sourire est de plus en plus grand, dévoilant mes canines.

- Blondie numéro 1, tu vas manger blondie numéro 2.

Elles poussent chacune un hurlement, s’agrippant l’une à l’autre. Elles se mettent à courir et rapidement, Blondie numéro 1 vole contre le mur alors que ma main se ressert sur le cou de Blondie numéro 2. Je la rapproche de moi, le sang coule toujours dans son cou, je plante mes crocs de l’autre côté. Elle se débat mais ne peut rien faire contre moi. Je la plaque au sol, passant sur elle. La chevauchant, mais pas comme elle l’aurait voulu au départ. Je la débarrasse de sa robe, et je mord chaque partie de son corps qui m’est offertes comme avec chacune de mes victimes. Mes mains court sur son corps, et malgré sa peur, je sens des frissons sur elle, des frissons de plaisir. Comme quoi même aux portes de la mort, les pulsions primaires sont encore bien présente.

Je me redresse, le sang coule à flot sur son corps, elle n’est plus capable de bouger, j’ai brisé sa colonne en la plaquant au sol et seule ma contrainte mentale l’empêche de sombrer dans l’inconscience. Je regarde blondie n°1 qui n’a pas loupé une miette de se spectacle. Je m’approche doucement d’elle, puis la prend par les cheveux, la trainant vers sa son double. Je la jette sur sa soeur et m’accroupie face à elle :

- Tu étais prête à la mettre sur la touche n’est-ce pas ? Pour ta propre gloire tu aurais pus la laisser dans la merde la plus totale. Je me trompe. Et pour ta survit, tu es prête à quoi ?
- La laisser mourir.

Quel amour débordant. Je ris un peu plus en caressant son visage avec une douceur feinte. Je souris un peu plus. Elle serait donc prête à la laisser mourir. L’instant de survit de cette fille est purement égoïste, j’aime ça. Mais pas assez pour la laisser en vie. Je me penche vers son oreille et je murmure :

- Lèche son sang.

Elle pousse un gémissement horrifier, mais lorsque nos regards se croisent, même sans avoir à me servir de mes pouvoir, elle hoche la tête, voyant ainsi une chance pour elle de s’échapper. Elle se penche sur le corps de sa soeur et commence doucement à s’exécuter alors que je caresse ses cheveux de façon presque distraite, c’est trop ennuyant, sa soeur ne cri pas. Il faut que blondie numéro 1 face souffrir blondie numéro 2. Je me penche vers numéro 2 et murmure à son oreille :

- Comment t’appelles-tu ?
- Lydi.
- Et elle ?
- Lisa.
- Et bien Lydi, je veux que tu mordes la chair de Lisa, que tu tire suffisamment fort pour l’arracher et la mâcher.

Je suis de plus en plus sadique à ce que l’ont dirait. Elle pousse un petit cri, je la frappe presque avec ménagement et je lui ordonne plus fermement de le faire. Elle s’exécute, non sans peine. Sa soeur hurle lorsque sa chair est déchirée. Avec dégout Lydi mâche. Elle est prête à cracher, mais je lui dit d’avaler. Je la repousse ensuite plus loin. Reportant mon attention sur Lisa.

- Elle ne tient pas à toi on dirait.

Je ris encore, et replonge mes crocs dans sa chair. Cette fois ci, je lui ferais cadeau des endorphines à celle-ci, mais pas à sa soeur. Doucement la vie la quitte, elle ne dit plus mots et meurt dans mes bras. Je l’avais relever pour une plus grande facilité, je lui arrache un ongle que je glisse dans ma poche.

- Here we go, the people show victims of tomorrow *

Je la repose sans délicatesse et me retourne vers Lydi qui pleure dans son coin. Je me lève et elle court. Je lui laisse prendre un temps d’avance avant de me jeter sur elle.

- The sweet success you've tasted, Tasted by a bitter frown.**

Je continue ma chanson, me délectant de son expression face à ma folie. Sa peur est grande, vivante. Elle ne peut pas me résister, et elle le sait. Elle va mourir ce soir et elle en a conscience. Oui ma belle, repense à tout ce que tu aurais pus faire si tu n’avais pas croisé mon chemin ce soir.

Je plonge mes crocs dans son cou, mais soudain, une douleur lancinante me saisit dans le dos. Je pousse un grognement quand je comprends que je viens d’être poignardé par un pieu de dhampir. Je lâche ma victime et le dhampir enroule ce fil d’argent autour de mon cou. Il vient de signer son arrêt de mort.

- Cours.

Ou plutôt elle. Je regarde Lydi se redresser et courir, j’arrive tout de même à articuler suffisamment fort :

- Je te retrouverai Lydi.

La dhampir ressert sa poigne sur mon cou. Je chercher à me libérer d’elle. Et elle parle à nouveau. Je reconnais alors sa voix et un petit rire m’échappe. Je me bascule en avant et elle vole dans l’air pour atterrir sur le sol. Je me défais du fil qui laisse encore une marque béante sur ma gorge, mais celle-ci ne tardera pas à disparaitre. Je la regarde, toujours aussi amusé :

- Bonsoir à toi aussi Lena. C’est un plaisir de te revoir.

Je caresse sa joue de façon presque perverse. Elle m’a empêché de finir mon oeuvre. Elle va payer cet affront de sa vie. Elle doit le savoir à mon regard, car déjà elle se reprend. Elle va m’offrit un vrai combat avant sa mise à mort. Je ne suis pas contre, j’aime les bons combats. Je ris, elle me fais penser à moi lorsque j’étais encore vivant. Avant que toutes mes idéologies envers les moroïs ne tombent. J’étais comme elle, près à tout sacrifier pour cette cause. Et me voilà aujourd’hui. La vie est bien faite non ?

- Alors Lena, qu’a tu fait durant toutes ses années ? Ta fille va bien ?

Je souris en coin, imaginant ce que je pourrais bien faire à sa petite fille chérie une fois qu’elle sera morte. Je suis sûr qu’elle est devenu une magnifique jeune femme. Elle ne doit pas avoir loin de dix-huit ans maintenant. Une vraie tentatrice comme sa mère je parie.

- Elle à de beaux ongles manucuré je parie ?

Je la provoque ouvertement, je veux voir sa réaction face à de tel menace sur sa fille. Je me ferais un vrai plaisir de la dévorer lorsque j’en aurai fini avec sa mère. Est-elle aussi vive que sa mère ? Lena à toujours été une merveilleuse combattante, et j’ai toujours adorer me battre avec elle. C’est sans doute pourquoi je ne l’ai jamais tué. Le ferais-je aujourd’hui ? Je ne sais pas, à elle de me convaincre de ne pas le faire. Si elle me montre qu’elle est toujours le même ennemi, alors que la laisserai partir pour pouvoir me mesurer à nouveau à elle. Je la rendrai folle à l’idée de ne pas pouvoir m’avoir, et alors j’obtiendrai ma victoire quand elle comprendra qu’il lui faudra être immortel pour m’atteindre.

- Alors, on parle ou on se bat ma chérie ?



* On y va, les gens montrent les victimes de demain
** Le succès que vous aurez goûté sucré, dégustés par un froncement de sourcils amère
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MessageSujet: Re: Emerys ♥︎    Emerys ♥︎  EmptyVen 28 Aoû - 22:06



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Accedat huc suavitas quaedam oportet sermonum atque morum, haudquaquam mediocre condimentum amicitiae. Tristitia autem et in omni re severitas habet illa quidem gravitatem, sed amicitia remissior esse debet et liberior et dulcior et ad omnem comitatem facilitatemque proclivior.

Mox dicta finierat, multitudo omnis ad, quae imperator voluit, promptior laudato consilio consensit in pacem ea ratione maxime percita, quod norat expeditionibus crebris fortunam eius in malis tantum civilibus vigilasse, cum autem bella moverentur externa, accidisse plerumque luctuosa, icto post haec foedere gentium ritu perfectaque sollemnitate imperator Mediolanum ad hiberna discessit.

Ipsam vero urbem Byzantiorum fuisse refertissimam atque ornatissimam signis quis ignorat? Quae illi, exhausti sumptibus bellisque maximis, cum omnis Mithridaticos impetus totumque Pontum armatum affervescentem in Asiam atque erumpentem, ore repulsum et cervicibus interclusum suis sustinerent, tum, inquam, Byzantii et postea signa illa et reliqua urbis ornanemta sanctissime custodita tenuerunt.

Sed quid est quod in hac causa maxime homines admirentur et reprehendant meum consilium, cum ego idem antea multa decreverim, que magis ad hominis dignitatem quam ad rei publicae necessitatem pertinerent? Supplicationem quindecim dierum decrevi sententia mea. Rei publicae satis erat tot dierum quot C. Mario ; dis immortalibus non erat exigua eadem gratulatio quae ex maximis bellis. Ergo ille cumulus dierum hominis est dignitati tributus.

Siquis enim militarium vel honoratorum aut nobilis inter suos rumore tenus esset insimulatus fovisse partes hostiles, iniecto onere catenarum in modum beluae trahebatur et inimico urgente vel nullo, quasi sufficiente hoc solo, quod nominatus esset aut delatus aut postulatus, capite vel multatione bonorum aut insulari solitudine damnabatur.

Ideoque fertur neminem aliquando ob haec vel similia poenae addictum oblato de more elogio revocari iussisse, quod inexorabiles quoque principes factitarunt. et exitiale hoc vitium, quod in aliis non numquam intepescit, in illo aetatis progressu effervescebat, obstinatum eius propositum accendente adulatorum cohorte.

Vita est illis semper in fuga uxoresque mercenariae conductae ad tempus ex pacto atque, ut sit species matrimonii, dotis nomine futura coniunx hastam et tabernaculum offert marito, post statum diem si id elegerit discessura, et incredibile est quo ardore apud eos in venerem uterque solvitur sexus.

Unde Rufinus ea tempestate praefectus praetorio ad discrimen trusus est ultimum. ire enim ipse compellebatur ad militem, quem exagitabat inopia simul et feritas, et alioqui coalito more in ordinarias dignitates asperum semper et saevum, ut satisfaceret atque monstraret, quam ob causam annonae convectio sit impedita.Equitis Romani autem esse filium criminis loco poni ab accusatoribus neque his iudicantibus oportuit neque defendentibus nobis. Nam quod de pietate dixistis, est quidem ista nostra existimatio, sed iudicium certe parentis; quid nos opinemur, audietis ex iuratis; quid parentes sentiant, lacrimae matris incredibilisque maeror, squalor patris et haec praesens maestitia, quam cernitis, luctusque declarat.

- Nec sane haec sola pernicies orientem diversis cladibus adfligebat.

Namque et Isauri, quibus est usitatum saepe pacari saepeque inopinis excursibus cuncta miscere, ex latrociniis occultis et raris, alente inpunitate adulescentem in peius audaciam ad bella gravia proruperunt, diu quidem perduelles spiritus inrequietis motibus erigentes, hac tamen indignitate perciti vehementer, ut iactitabant, quod eorum capiti quidam consortes apud Iconium Pisidiae oppidum in amphitheatrali spectaculo feris praedatricibus obiecti sunt praeter morem.
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