Valentina Del Duca human |
Messages : 213 Date de naissance : 09/07/1997 Date d'inscription : 25/12/2014 Age : 26 Localisation : Neverland
| | | Sujet: Emrys Bach - Imagine Dim 28 Aoû - 23:27 | |
| Personnage inventéPseudo IRL : Noémie Pseudo du personnage : Emrys Bach Quelques mots sur ton personnage : - Caractère :
Aimant, juste avec elle Ambigu, avec toutes les femmes Ambitieux, depuis toujours Amusant, que ce soit noir ou blanc Angélique, mon sourire Arrogant, toujours Artiste, avec ton corps Attentif, à tes mouvements Audacieux, je vole de toi(t) en toi(t) Autoritaire, c’est moi qui commande, faut t'y faire
Beau parleur, tu tomberas dans le panneau
Charismatique, ah ça.. Cinglé, certainement Concentré, toujours si c’est pour te tuer Confient, à quoi bon avoir peur ? Courageux, faut bien, sinon tu meurt Courtois, avec les ladies Créatif, avec le sang des ladies Cultivé, ça viens avec l’âge Cynique, à quoi bon être comme tous le monde ?
Débauché, c’est plus drôle Désordonné, ranger, à quoi ça sert ? Directe, pas de non dit avec moi, mon gars Diabolique, mon rire Distingué, mes gestes Douteux, tout ce que je fais Dur, devine !
Égoïste, et alors ? Énigmatique, oh oui Excentrique, ça met de la couleur Excessif, faut jamais rien faire à moitié Explorateur, de ton corps Expressif, tu le découvriras Exubérant, bah quoi ?
Fantasque, j’aime bien Faux, la vérité ne sert à rien Ferme, t’as toujours pas deviné ? Fêtard, chaque jour. Je dormirais quand je serait mort…définitivement Fier, comme pas deux Flatteur, avec toi ma belle Fouinard, c’est un vilain défaut, je sais. Fou, on le dit Fougueux, demande leur Fourbe, y a des chances
Galant, toujours avec ses ladys Gourmand, de la gente féminine
Hautain, avec ses pauvres inférieurs Hypocrite, je sais je sais… Hystérique, ça m’arrive
Imaginatif, tu le sauras bien assez tôt Impudent, c’est plus vivant Indépendant, parfois être seul vaut mieux qu’être mal accompagné Inébranlable, essaye de m’atteindre pour voir ? Insolent, tu craqueras avant moi Intelligent, c’est un don de la nature Intrépide, toujours. Ironique, ça me fais rire
Jaloux, ne la touche pas Joueur, avec ses dames
Leader, avec les idiots Logique, dans ma façon de penser Loyal, envers elles Lunatique, ne me cherches pas
Malicieux, mon sourire ? Mauvais, un mot pour me définir Mystérieux, tant de secrets
Narcissique, je suis beau, et alors ? Négatif, juste pour toi.
Opportuniste, à n’importe qu’elle occasion Original, j’aime assez.
Passionné, avec vos lèvres. Passionnel, avec ton corps Patient, juste dans ma traque. Pervers, ahhaha Possessif, juste avec elle Protecteur, pour elles Puérile, on le dit.
Rebelle, je l’ai toujours été Rigide, alors t’as deviné ?
Sadique, avec ses pauvres victimes. Sans pitié, avec vos corps. Snob, avec les humains. Sociable, avec les miens. Spontané, pour tout Surprenant, faut bien de temps en temps, non ?
Taquin, elles préfèrent Tricheur, au poker ? Non, pas du tout…
Vif, comme un serpent. Viril, tu le sauras si tu goute. Vivant, à moitié Violent, c’est grisant.
- Physique :
Un mètre soixante-dix huit de pur beauté. Des yeux bleus qui font fondre le coeur de ses dames. Un corps d’athlète et une endurance d’étalon. Des muscles de combattant, des cicatrices du passé. Des jean simple et des chemises blanches, de simple chaussures. Le naturel me va bien mieux.
- Histoire :
I break, I borrow, I live, I loose I break, I'm hollowed, I'm dead, confused I'll find you
What is love and what's it for I'm stuck outside an open door And no one's come to get me yet I never got a second bet I'm welcomed to your fantasy If only she was make-believe Oh what is love and what's it for? Oh take me back and do me more Ooh take me back and do me more
I break, I borrow, I live, I loose I break, I'm hollowed, I'm dead, Confused I'll find you
Once you're here you're never gone Oh, once you're here you're never gone I fall from in out the cold A piece of me that I can't hold I love you as I loose you more I break outside this open door Catch me as I wash away Oh, catch me as I wash away Ooh, catch me as I wash away
I break, I borrow, I live, I loose, I break, I'm hollowed, I'm dead, confused
I break, I'm hollowed, I'm dead, confused I'll find you
Les applaudissements fusent dans la salle. Je décoche un sourire merveilleux à la blonde au bas de la scène. Elle pense avoir gagné le gros lot ce soir, elle n’a même pas idée à quel point. Je pose ma guitare, je la range dans son étui avec soin, déjà un humain se presse pour la récupérer et la mettre dans sa voiture. Je saute de la scène, je rejoins la blonde, je l’attrape par les hanches et mes lèvres s’écrasent sur les siennes. Je ne connais pas son nom, elle ne connais pas le mieux, elle m’a juste vu chanter, et que je l’embrasse n’a pas l’air de la déranger. Je souris contre ses lèvres, quand elle s’empresse de caresser mon torse. Elle me prend par la main, m’entrainant déjà hors de se bar où je me suis produit. Bien ma belle, entraine moi dans une ruelle sombre, abuse de moi si tu le veux, mais se ne sera pas moi le plus abusé de nous deux crois moi.
Elle me plaque au mur, personne ne peut nous voir, le noir est total, personne ne pourra nous voir ici. Parfait ai-je envie de dire. Mes doigts glissent sous sa robe, elle la perd rapidement, mes lèvres se perdent contre l’odeur de sa peau, son cou, si rosé. Je ne resterais pas encore bien longtemps, je le sais, surtout pas en ressentant son désir pour moi. Mes crocs attisent sa flamme dans son cou, elle gémit, elle aime ce que je lui fais, mais elle n’a encore rien fit. Brusquement je plonge mes crocs dans sa chaire, je les retire, elle cri, je plaque une main sur sa bouche, je la mord à nouveau, je le fais une fois, deux fois. Elle aimerai hurler, s’enfuir, mais je l’en empêche. Je pourrais la mordre une bonne fois pour toute et les endorphines feraient leurs effets, elle ne se débattrait plus, mais où serait le plaisir ? Je m’amuse à la torturer de la sorte pendant de longues minutes, et je ne prends jamais assez de sang pour qu’elle vienne à en mourir, se serait trop doux pour elle.
Je caresse sa main droite du bout des doigts, je la remonte à mon visage, j’hume son odeur et un son rauque, sauvage échappe ma gorge. Délicieuse, un vrai plat de roi. J’embrasse chacun de ses doigts, une lueur de folie dans les yeux, je sais ce que je vais faire, je sais ce que j’ai envie de faire.
- J’adore tes ongles ma douce. Si parfaitement limé...
Je prend un de ses doigts dans ma bouche, je le suce délicatement, je laisse mes dents se refermer sur son ongle et je tire. Elle cri, contre ma main gauche toujours plaqué sur ses lèvres. Elle souffre tellement que je me mets à rire diaboliquement, ma pauvre enfant, ton ongle est cassé ? Je le glisse dans ma poche sans plus se cérémonie. Je regarde le sang qui coule sur son doigt, que je remets dans ma bouche, je le lèche délicatement, puis, je relâche cette main, je prend l’autre, son index entre les doigts, je la force à caresser le sang qui coule dans son cou. Son doigt maculé, je souris un peu plus, je retire ma main gauche de sur ses lèvres, plongeant mon regard dans le sien :
- Surtout tu ne cris pas, tu bouge pas. On est d’accord. - D’accord, dit-elle d’une voix confuse.
Je lui fourre alors son doigt dans sa bouche, je lui ordonne de lécher tout ce qu’il y sur son doigt. Elle pousse une grimace de dégout et je ris un peu plus. Goute ma belle, se nectar qui coule maintenant dans mes veines. Ce n’est pas à ton goût ? C’est bien dommage pour toi, tu ne sais pas ce que tu loupes. Mes lèvres retrouvent son cou pour une nouvelle gorgée, un peu plus longues que les autres, mais pas encore assez. Je replonge mes yeux dans les siens, je lui montre le côté opposé de celui où nous sommes entrée de la ruelle et je lui murmure :
- Cours...
Je la relâche et elle s’enfui. N’aimait-elle donc pas ma compagnie ? Je ris toujours plus avant de me ruer vers elle. Elle cri cette fois, je la laisse faire, mais personne ne peut nous entendre, et si tel était le cas, nous aurions disparu avant que quelqu’un arrive. Je la percute de plein fouet, elle tombe à terre, se débat et j’attrape ses bras d’une poigne de fer :
- Voyons ma jolie, on commence tout juste à s’amuser.
Je lui mords le poignet cette fois, une gorgée, puis je mords sa cuisse, je remonte sur son ventre, je laisse le sang couler de tout les côtés. Je la regarde se vider doucement avec un grand sourire animal, une véritable merveille. Doucement, je voie la vie qui s’éteint dans ses yeux, et je décide d’abréger ses souffrances, je plonge mes crocs dans son cou, mais je change d’avis juste avant la limite, et je la laisse mourir dans un hoquet de souffrance. Le sang qui macule sa peau, (j’avais donc fais tombé sa robe ?) je m’amuse à dessiné ce mot sur son ventre :
Délicieuse
Je me relève doucement, la laissant là, avant de me retourner pour rejoindre le van ou sont affrété mes affaires de Rock star. Iris aurait bien rit si elle avait pu me voir, mais j’adorais ça. L’humain qui me sert « d’assistant » est là, il regarde mes vêtements maculés de sang, et celui qui perles sur mes lèvres. J’hausse les épaules d’un air faussement innocent. J’ouvre les portes arrière, retirant mes vêtements pour en changer. Je récupère l’ongle dans ma poche pour le glisser dans une bourses ranger dans un compartiment puis je referme le tout dans un claquement :
- On y va !
Je monte au volant, lui côté passage. Nous roulons quelques minutes et enfin il se décide à poser la question qui le chiffonne depuis tant de temps :
Comment en es-tu arrivé là ?
Je le regarde fixement avec un sourire :
- Tu as conscience que si je te dis tout je vais devoir te tuer ?
Il hoche la tête, le pauvre fou pense encore que je vais lui offrir l’immortalité. Eh bien soit, ce soir sera son dernier soir, je peux bien lui accordé la narration de mon histoire pour service rendu avant de passer de vie à trépas. Alors, avec un sourire, je me lance dans ce récit.
- Ah mon avis, tu veux pas la version courte, alors, allons-y, commençons par le début.
Minseln, Allemagne, 30 septembre 1955, Josefine Bach mets au monde un fils, dhampir comme elle, Emrys. Fruit d’une nuit passionnel avec moroï dont on aura déjà oublié le nom. Elle l’élève simplement, dans un amour grand et délicat. Quand Emmys à 5 ans, sa mère choisit de vivre en France, à la frontière, permettant ainsi à son fils de rejoindre l’académie française de dhampir et moroï. C’est là qu’Emrys à fait la rencontre de celle qui bouleversa sa vie à jamais. Iris. Ce perdre dans ce qu’ils ont vécu ensemble dans leurs années d’études, reviendrait à raconter des choses banals sur tout les adolescents. Le plus intéressant est d’attendre qu’ils soient diplômé et affecté.
Meilleurs de leur promo, en tête l’un et l’autre, à un rang d’égalité, Iris et Emmys se voient affecté une place de choix, ensemble comme ils le désiraient, aux cotés d’un moroï roya. Emrys est le gardien rapproché, Iris celle de distance. Ça leur convient bien. Emrys n’a pas à se plaindre de leur moroï, il le trouve plutôt sympathique, jusqu’au jour ou celui ci révèle son vrai visage. Violant la femme qu’aimait Emrys, la délicate Iris. De quoi mettre le gardien dans une colère noire, mais on le retient, on l’empêche de le tuer, on l’envoie même chercher quelque chose au profit de son « maitre » en solitaire. Il laisse Iris à contre coeur mais y va tout de même. C’est là que tout change.
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Je marche dans la nuit noire, mes armes rangées sous mon manteau. J’avance doucement vers le tarmac, j’attends, que cet homme avec la mallette descende, je prends ce colis, je rentre et je propose à Iris de s’enfuir avec moi. Elle en a déjà trop vécu, je ne la laisserai plus une minute de plus avec cet homme, et même qu’avant de partir, je lui trancherai la gorge pour ce qu’il a fait.
Ce type me donne la mallette, je lui donne le sac avec les billets, enfin, les fausses coupures, les vraies ont déjà atterri sur mon compte. Il compte, mais ne se rend compte de rien, il hoche la tête, j’hoche la tête, et nous nous séparons. Je remonte au volant de la voiture.
Je fil déjà sur les routes, pressé de rejoindre Iris et d’en finir avec cette vie à la con, je veux une nouvelle vie pour nous et je compte bien lui avouer mes sentiments. C’était sans compter sur la femme qui se dresse au milieu de la route et pour laquelle je dois faire un freinage d’urgence. Je sort de la voiture en trombe :
- Non mais ça va pas ?
Elle fonce sur moi, je comprends trop tard à qui j’ai affaire. Espèce de débutant Emrys, te laisser surprendre de la sorte, idiot va. Elle me regarde dans les yeux, elle est belle, c’est vrai, mais je voie aussi à sa peau qu’elle n’est pas une vielle strigoï, j’aurai d’autant plus de facilité à me débarrasser d’elle. La strigoï laisse courir sa main sur mon visage, un frisson me parcourt, mais pas un frison de peur, elle le sent bien. Ses lèvres s’écrasent sur les miennes et c’est plus fort que moi, je lui rends son baiser. Mes bras passent autour d’elle, elle nous fait quitter la route pour rejoindre la forêt. Je me laisse faire avec plaisir. Elle murmure quelque chose à mon oreille mais je ne m’en rends pas compte.
Plusieurs heures plus tard, elle décide enfin de me tuer. Je la regarde fixement, prenant son visage d’une main ferme et je lui murmure ses mots qui scelleront à jamais mon destin :
- Transforme moi.
Elle semble hésité et accède à ma requête. Le feu s’empare de mon corps, je sens tout les changement s’opérer en moi. La force, les sens, tout change, tout s’améliore. Je pousse un cri de douleur et déjà, je sens que tout s’arrête, mon coeur ralentit, il s’arête, je ne vis plus… et mon coeur repart, plus lent, plus régulier, la vie, je la sens, différente mais bien présente. J’ai faim aussi, je sais de quoi. La strigoï me regarde, je ne connais toujours pas son nom, je la regarde doucement, elle me sourit et je lui demande, elle me réponds alors :
Leila.
Je souris en coin, caressant son visage, j’embrasse doucement ses lèvres, je me redresse au dessus d’elle et murmure à son oreille :
- Merci pour tout Leila.
Elle sourit, elle caresse mon torse, elle ne voie pas le mouvement de ma main vers mon manteau, elle n’a pas le temps de réagir que déjà mon pieu s’enfonce dans son coeur, un sourire cruel sur les lèvres je murmure :
- Adieu Leila.
Je me relève alors qu’elle meurt, je lui mets le feu à l’aide de mon briquet. Je sors une cigarette du paquet, j’en craque une, mais elle n’a finalement plus aucune saveur pour moi, je la laisse retomber sur le corps de Leila. Je sais que j’ai changé, je sais que je ne suis plus le même homme, mais je sais aussi ce que je veux plus que tout, retrouver Iris et lui offrir la vie qui m’est offerte.
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Rentrer au domaine, trouver Iris, ce n’est pas ce qui fut le plus dur. Convaincre Iris par contre ne fut pas facile. À vrai dire, il n’y parvient pas, malgré ses arguments, sa plus vielle amie, la seule qui ai jamais compté à ses yeux lui tourne le dos. Alors il s’approche d’elle, et la transforme contre sa volonté. Elle lui pardonnera, il le sait.
Et elle l’a fait. Lui permettant de passer 30 ans de débauche meurtrière ensemble. Semant le chaos partout où ils aillaient. Un duo maléfique comme on en a rarement vue. Leur signature, ils arrachent un ongle à leur victime, deux s’ils tuent à deux. Confectionnant une petite guirlande avec. À croire qu’il ne sont pas très saints d’esprits ses deux là.
Mais passer trop de temps avec une personne, malgré les sentiments, peut parfois s’avérer trop dur à supporter. Un soir, le soir de trop, une dispute éclate entre eux, et avant même d’avoir réaliser son acte, Iris se retrouve avec un pieu enfoncé dans le coeur. Longuement Emmys la contemple, comprenant que le remord ne le saisit pas, il sait qu’il était temps pour eux de se séparer définitivement, elle ne lui manquera finalement pas.
Emrys décide alors de se prendre une année pour lui parfaitement unique. Une seule et unique année, et pendant cette année il n’aura pas chômer. Il c’est trouvé un van miteux, pour entrer dans le personnage, il prit même un humain sous sa coupe. Passant de ville en ville dans plusieurs pays, se faisant passé pour un chanteur guitariste, à chaque fois avec un nouveau nom. Il parcourt ainsi l’Italie pendant quelques mois, l’Espagne, la France, il fait un crochet par la Nouvelle-Zélande et il atterrit aux Etat-Unis 4 mois avant la date butoir de cette année. Il s’établie un peu en Floride, tuant toujours autant sur son passage. S’amusant à agrandir sa bourse d’ongle.
L’enivrante odeur du sang, de la mort, tout ça l’excite toujours autant, mais Emmys sait que son année de débauche doit prendre fin, avant que des dhampirs ne puissent réellement lui tomber dessus, bien qu’il n’est pas peur il sait qu’il doit trouer une autre façon de faire, plus artistique. Il se trouve son nouveau défi. Il fait tomber une humaine amoureuse de lui en quelques jours seulement, il lui fait découvrir leur monde, il lui fait croire qu’il l’aime plus que tout. Il organise des tentative de meurtre sur elle pour la sauver et lui faire croire qu’il est vraiment là pour elle. Et un soir, elle lui dit qu’elle ne désir plus qu’une chose, devenir immortelle pour passer le restant de sa vie avec lui. Elle n’aura jamais eut aussi peur de toute sa vie.
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- Cindy, chérie, où te cache tu ?
Je marche sur le paquet du couloir, son appartement devenu le mien depuis le soir de notre rencontre. Cette fille, si crédule, si naïve m’a tout donné. Ses comptes en banque on grossie les miens, son héritage est devenu le mien, et ce soir, elle m’a demandé de faire d’elle ma compagne d’éternité. La pauvre enfant, elle c’est mise à hurler lorsque je lui ai alors avoué avoir joué avec elle et que j’allais la faire crier plus fort que toute les autres nuits, mais pour toute autre chose.
Son chat passe devant moi avec un cri sinistre, je l’attrape et il se met à crier comme les chats savent si bien le faire. Je le caresse le pauvre minou apeuré, je continue à marcher, je sais où elle se trouve, mais j’aime lui laisser penser que le placard lui offrira une bonne cachette pendant encore quelques minutes. Je parcours la chambre, je regarde sous le lit, j’entends son rythme cardiaque s’accélérer. Je rejoins la porte pour sortir, son coeur se relâche doucement. La pauvre naïve. Avant qu’elle n’ai eu le temps de dire ouf, j’ouvre en grand les portes du placards :
- Cindy chérie, pourquoi te cache tu ?
Elle cri, hurle ma belle, personne ne viendra t’aider, tes voisins sont déjà tous morts. Un beau massacre. Un sacré festin et maintenant, c’est l’heure du désert. Je l’attrape d’une main pour la coller à moi, je tiens toujours son chat dans l’autre. Je lève l’animal vers son visage, il tremble la pauvre bête :
- Tu as faim ma puce ?
Je ris, diaboliquement, elle prend plus peut encore alors que d’un geste du doigt je brise la nuque du petit animal. Je lui enlève la peau comme s’il avait été un pauvre lapin de garenne et je lui tends :
- Tu préfères cru ou cuit ?
Elle hurle encore et je lui enfonce la tête dans la bouche. Je lui ordonne de mordre, elle refuse, je plonge mes yeux dans les siens. Elle s’exécute. Elle dévore le pauvre animal sous mes yeux alors que je continue à rire à gorge déployé, et lorsqu’elle à fini, je lui rend sa faculté de penser sans moi. Elle cri si fort cette fois qu’elle aurait pu faire exploser mes tympans. Je la saisit par les épaules. Lui dévoilant mes crocs avec plaisir. Ma main droite attrape la sienne, je lui arrache l’ongle avec les dents, je le crache par terre et je plonge mes crocs dans son cou. Et comme à mon habitude, encore pas assez pour qu’elle subisse les effets bienfaiteur des endorphines. Ses épaules, ses cuisses, ses doigts. Tout y passe, sauf la partie la plus intime, j’ai encore une certaine retenu pour ne pas prendre une femme de force, les femmes s’offrent à moi, c’est bien mieux.
Bientôt, la vie fini par la quitter et mes oreilles retrouvent un silence apaisant. Tout ce sang qui coule sur la peau, j’en lèche une partie, puis je me demande quel message je pourrait laisser cette fois-ci. Un grand sourire apparait sur mon visage alors que je trace ceci :
Île sanglante
Vous verrez, futur désert en vogue aux Etats-Unis. Je me redresse rapidement, je ramasse son ongle et je quitte les lieux. Je me change rapidement dans le van et je fil sur les routes. Je rejoins un bar, il y a une jolie blonde assise au comptoir, j’ai encore faim, mais plus de sang. Je m’installe à côté d’elle, je lui offre un verre, elle est réceptive.
On va chez moi ?
Voilà ce qu’elle demande juste trente minute après, avec plaisir ma belle. Je me lève et la suis de mon coeur.
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Je relève les yeux, l’humain me regarde avec des yeux exorbités. Il ne c’était pas encore rendu compte à quel point je pouvais être dérangé. Il est devenu si pâle que je pourrais le croire mort. Mais ce n’est pas loin de la vérité, car c’est bien ici à San Diego qu’il va perdre sa vie. Je crois qu’il l’a compris, il agrippe la poignet de la portière, mais je le rattrape avant :
- Pas si vite mon gros.
Et sur ses mêmes mots je lui brise la nuque. Le boire aurait été une perte de temps, il n’était pas du genre comestible. Le truc c’est que je n’ai pas fais que le briser la nuque, je l’ai un peu arraché sa tête en même temps, et maintenant il y a pleins de chose visqueuse qui se déverse dans le van et sur moi. Je pousse un soupir et descend pour rejoindre l’arrière. J’y récupère la bourse avec les ongles, mon sac avec mes affaires, ma guitare sur le dos et je me détourne du van. Au bout de quelques minutes de marches, je trouve ce qu’il me faut, une charmante porche. Je prend rapidement le volant, filant sur les routes en oubliant déjà tout ce qu’il c’est passé. L’été approche, voilà un an que mon année à commencer, et il ne me reste plus qu’une chose à faire. Trouver un endroit pour m’établir et rentrer dans la légende. Ce sera le plus grand massacre que le monde ai connu, et sa destination se décide quand un panneau de signalisation indique « Imagine », parfaitement ce qu’il me faut.
J'ai désormais 7 comptes avec celui-ci et vu que c'est mon 7eme compte, j'ai bien fait la demande et voici la preuve → par ici.
Dernière édition par Le Secret le Ven 2 Sep - 18:58, édité 5 fois |
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